Avec la verve qu’on lui connaît, la nouvelle présidente de la FTQ est venue s’adresser aux congressistes en après-midi. Elle a fait le point sur les enjeux qui touchent le monde syndical. Ceux-ci ne manquent pas alors que le gouvernement Legault multiplie les attaques afin de privatiser le modèle québécois de social-démocratie. Côté fédéral, la perspective d’un gouvernement conservateur fait planer le spectre de l’abolition de la formule Rand.

Cependant, pour elle, l’avenir demeure positif. Notre mouvement est constitué de gens passionnés qui militent pour un monde meilleur, pour la justice sociale et le respect au travail. La force du nombre et notre passion sauront ultimement vaincre.

Cela nécessitera cependant de se retrousser les manches et retourner sur le terrain à la rencontre de nos membres. Cela nécessitera aussi que le mouvement syndical cesse de s’entre-déchirer dans des guerres fratricides qui ne font que des perdants.

Les États généraux de la FTQ qui auront lieu en 2024 seront un moment de choix pour s’unir afin d’affronter la montée de la droite en Amérique du Nord et proposer à la population un meilleur projet de société.

Merci Magali de nous inspirer!